Sortie inter-groupes sur le Chéran
Participants: Aurore, Manon L, Alexei, Luc, Marc, Olivier, Quentin, Yves. Un mélange réussi des sections du club (Loisirs eau calme, groupe rivière et groupe slalom) et même de clubs, Luc étant un espion envoyé par le CKTSV pour infiltrer le CKLOM. Cliquez sur « Lire la suite » pour voir l’article complet et les photos.
Initialement nous étions partis sur l’entraînement rivière du samedi matin. Mais lorsqu’à 21h pendant l’AG du club, Alexei regarde sur RiverApp si les récentes pluies ont rempli les rivières, le programme change. Ce sera le Chéran, rivière de classe II-III à 1h30 de Lyon. En 20 minutes, la sortie réunit 8 participants. Rdv le matin au club pour le chargement du matériel. Olivier peine à trouver kayak à son pied, mais lorsqu’il le trouve, l’euphorie l’emporte (enfin presque, l’euphorie aura emporté le kayak et son propriétaire, mais pas son casque et sa pagaie…). Malgré le brouillard sur la route, un court rayon de soleil permet d’admirer les Alpes sous la neige et le soleil matinal. Dommage que nous n’ayons pas eu le même soleil sur l’eau, c’eut été fort appréciable.
Débutante en rivière, Manon bénéficie de l’immense privilège de naviguer en K2 Jackson avec Alexei, aux côtés du gang des requins (Aurore, Luc, Marc, Quentin) et d’Yves dans son Kendo favori. Et c’est parti! les gorges sont superbes, c’est presque féerique, il ne manque plus que les Ents du Seigneur des anneaux. Il y a beaucoup de trains de vagues et d’endroits pour travailler ses surfs et ses bacs, même en K2! On note au PV de la sortie l’absence totale de bain ou d’esquimautage. Tout au plus quelques petites erreurs histoire de se dire « c’est pas passé loin ».
On profite du picnic mérité à la fin de la descente. Un débat surgit soudain sur le petit étang à moitié gelé du débarquement et la température de l’eau. Luc, encore en dry suit (combinaison intégrale étanche), s’y plonge pour faire partir le sable résiduel de ses chaussures et sa dry. A la surprise générale, ce nettoyage fut rapide et la sortie de l’eau quasi immédiate. Puis c’est le retour sur Lyon, sans Luc qui file de son côté directement en Ardèche où il est attendu pour une autre navigation le lendemain sur la rivière d’Ay.